Toyota Prius : green or geek machine ?

Introduction

La Prius, dont la racine latine signifie « aller au-devant », roule au Japon depuis 1997. Cette voiture hybride a été conçue principalement pour répondre aux problèmes de circulation dans les grandes villes japonaises. Il s’agit donc d’une voiture qui pollue très peu et qui consomme même moins d’essence en circulation urbaine que sur l’autoroute.
La Toyota Prius en est aujourd’hui à sa deuxième génération et sa cadence de production atteint désormais 100’000 unités par an.

Le système hybride de la Prius associe un moteur à essence et un moteur électrique. Ce dernier s’enclenche au démarrage du véhicule jusqu’à une vitesse maximale de 30 km/h. Lorsque la vitesse dépasse cette limite, le moteur thermique prend le relais. En phase de décélération et de freinage, l’énergie cinétique est utilisée pour recharger les batteries.

Problématique

Sommes-nous prêts pour la technologie hybride initiée par Toyota ?

Analyse macro

Client : Suite à l’enquête faîte par l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich en septembre 2004, le résultat révèle que le client Prius type est de sexe masculin, âgé de 54 ans et bénéficiant d’une formation qui dépasse la norme. Son revenu aussi est au-dessus de la moyenne. Son attention a été suscitée par les médias. La technologie et la consommation ont joué un rôle prépondérant lorsqu’il a opté pour la Prius.
Il faut noter que la clientèle concernée reste essentiellement urbaine. Effectivement, la conduite de cette voiture, favorisant l’environnement à vitesse réduite, n’est pas faite pour les grandes distances.

Ventes : Les ventes de l’année 1998 s’établissaient à 18’000 unités. Ce chiffre passera à 312’500 en 2006, une très belle progression qui a permis à Toyota de s’imposer en tant que leader mondial sur le marché des véhicules hybrides. Le cap du million de Prius vendues a ainsi été récemment franchi.

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