Privatisation in china
Le document nommé « Privatisation in China », datant du 3 septembre 2011 et édité par The Economist, traite sur les différents statuts des entreprises en Chine. Cette seconde partie du document défini plus en détails les catégories des entreprises privées, semi-privées ou publiques.
La première catégorie concerne les entreprises publiques dépendantes de l’Etat Chinois. Ce modèle donne au gouvernement le contrôle continu des entreprises, essentielles au bon fonctionnement de l'économie. En particulier, il facilite l'exécution des projets d'immobilisations importants tels que les trains à grande vitesse, la télécommunication et les ports.
Cependant, cela a un coût et les compagnies d'exploitation sont négligées. Le manque d'orientation commerciale est significatif dans ce genre de domaine, se sont des emplois avec des hautes rémunérations, se qui rend le personnel passif et improductif. Pour lutter contre la crise, les faillites et ce genre de compagnie improductif, les experts des opérations internationales ainsi que le président de la Chine ont cherché à comprendre comment le capitalisme américain fonctionnait dans les grandes entreprises, tel que IBM.
La deuxième catégorie d'entreprises, sont les joint-ventures représentée sous 2%. C’est une négociation entre deux parties, souvent avec un partenaire privé d’une société occidentale qui passant par une joint-venture pour accéder à une économie plus croissante en Chine. En retour, les chinois gagnent le savoir-faire occidental. C’est surtout dans l’automobile que l’on aperçoit ce type de coentreprise, comme General Motors. D’après M. Dunne, consultant automobile, la joint-venture relève les intérêts des deux parties qui sont plutôt alignés, ou du moins pas en conflit. Il dit aussi que les efforts de la joint-venture chinoise n’ont pas encore produit beaucoup de succès concernant leurs propres marques d’automobile, en dépit de leur accès à la technologie occidentale, les carrières