projet icare
Le projet Icare a visité dix lieux spécifiques. Je vous propose donc de faire un petit tour des spécialités économique des ses dix endroits. Un arrêt, une info. Alors, êtes-vous prêt pour ce tour du monde ?
Etape 1, la Tunisie :
En Tunisie, on transforme le méthane que produisent les déchets en CO2. Ce qui donne un gaz vingt et une fois moins nocif. Des pays industrialisés achètent des droits de polluer pour respecter leurs quotas d’émissions. Ces droits sont des gains économiques qui ont été convertis. Les tunisiens utilisent cet argent pour entretenir le ramassage des déchets et assainir plusieurs décharges.
Etape 2, le Maroc :
Le Maroc est un pays sec. Et quand on dit pays sec, on pense aussi à pays ensoleillé. Et quand on pense au soleil, on amène les panneaux solaires. Malheureusement, tout n’est pas aussi simple. Dans la province de Ben Slimane, au nord-ouest du pays, l’électricité vient d’être installée dans un foyer grâce à l’énergie solaire. Ses habitants attendaient depuis vingt ans. Ils on fini pas payer une somme énorme pour ce privilège. Ils auraient dû être embourser grâce au droit de polluer revendu aux pays industrialisés, mais aucun n’a accepté.
Etape 3, les Etats-Unis :
Même si le développement durable n’est pas le fort des Etats-Unis, les villes du nord s’efforcent de diminuer leurs émissions de CO2. Ce qui contredit fortement l’image qu’ils donnent d’eux: bâtiments de béton et taxis jaunes remplissant les rues. Malgré cela, 294 villes américaines ont signé, en 2006, un traité visant à respecter les principes du protocole de Kyoto. Elles se sont engagées à diminuer de 80% leurs émissions à effet de serre d’ici 2050. Aujourd’hui, Boston instaure des mesures dans les plus sévères…
Etape 4, pays Amish :
Vivre comme le passé dans le futur ? C’est ce que font les Amish, des suisses émigrés au XVII siècle. On les trouve facilement dans l’Indiana ou l’Ohio. Marcher pieds nus, aller au travail en vélo et