Projet d'animation
1- Préambule
2- Introduction
3- Présentation de l’Unité Mobile de Gériatrie
4- La stimulation cognitive
9- Conclusion
10-Bibliographie et internet
Préambule
« J’ai la mémoire qui flanche…je me souviens plus très bien ? »
« Dans la lune, ou Tête en l’air… »
Au quotidien , on parle d’oublis ou de trous de mémoire…
Ce constat est général, n’est-ce pas !
Les pertes de mémoire , les oublis répétéset fréquents notamment, handicapent la vie quotidienne de la moitié des français de plus de 50 ans.
Un handicap préoccupant mais mal pris en charge, conduit petit à petit à la désocialisation.
Les personnes victimes de leur mémoire s’enferment progressivement dans un véritable retrait social, de peur de dévoiler leurs faiblesses. Un retrait social qui mène à l’isolement, à la perte d’autonomie, et reste à la charge des familles.
Les pertes de mémoire ne sont pas inéluctables.
Comme tout muscle, la mémoire s’entretient.
Introduction
Les troubles de mémoire sont généralement liés à un manque d’entretien.
Des noms ou prénoms oubliés, des lunettes égarées, une tâche oubliée en quittant une pièce, un mot qui ne revient pas…, avec l’avancée en âge, la mémoire se rappelle à notre bon souvenir mais sûrement pas de la meilleure façon qui soit.
En pensant à la facilité et à la rapidité des plus jeunes pour apprendre, on peut, en vieillissant s’inquiéter et s’agacer de ces pannes répétées. Cepandant, celles-ci ne sont, en général, pas alarmantes.
La mémoire est la gardienne de nos souvenirs et de notre identité. Les maladies démentielles, telle la maladie d’Alzheimer pour ne citer que la plus connue, fait peur, car elles concernent de plus en plus de personnes âgées.
« Perdre la mémoire » est encore synonyme de folie. L’intérêt des ateliers-mémoire est de rassurer les participants sur leur mémoire en leur expliquant son fonctionnement et en la faisant travailler.
Présentation de l’Unité Mobile de Gériatrie