PSEUDONYMAT, LIBERTE ET PAROLE PUBLIQUE

Questions :

1)

On peut voir que ce qui est représenté dans l’image, supporte les trois thèmes principaux du titre.
Dans un premier temps, cette image va suggérer cette idée de pseudonymat, avec le point d’interrogation imposant. Elle montre donc cette paire qui s’est formé entre l’homme et la marque de ponctuation, et c’est cette dernière qui sera placé à gauche pour montrer l’évolution du pseudonymat.
Ce point d’interrogation va également permettre de mettre en avant un des aspects de la liberté ; celle qui permet à toute personne de choisir elle même ce qu’elle veut être, comment elle est représentée et comment les autres la verront.
La liberté est aussi montrée par la dominance de cette ponctuation forte, qui peut s’imposer où elle veut. En effet, dans le reflet de la vitrine où elle se situe, le point d’interrogation est au milieu de la route, où tout le monde peut l’entendre et la voir.
Ceci va aussi déterminer la parole publique, dans le cœur d’une ville. Un autre aspect qui caractérise ce dernier point est l’utilisation du téléphone portable par l’homme à droite, qui est l’objet le plus récent qui puisse transmettre la parole d’un individu.
Cette image suggère donc que les propos du titre peuvent-être perçus dans le monde actuel.

2)

De manière générale l’auteur est plutôt favorable à l’idée de l’anonymat. On peut voir qu’il commence déjà par montrer pourquoi le mot « anonymat » est utilisée de façon pessimiste, ligne 17-19, « volontiers utilisé pour dénigrer cette liberté (…) voient d’un mauvais œil cette concurrence massive. ». A partir de ceci, l’auteur va définir l’anonymat comme une norme, que ce soit dans la ville réelle (exemple du métro) ou sur le web.
Ensuite, nous pouvons voir que l’auteur cite que l’anonymat numérique, le pseudonymat, est « utile » (ligne 1) et plus que jamais. Il démontre ensuite que les écrits peuvent-être individualisés et que l’identité auquel on rattache ces