Rapport de lecture (sous-culture punk)

Né à vingt minutes du centre-ville de Québec dans un petit quartier tranquille, j’ai été confronté à la sous-culture punk, qui est bien présente en ville, pour la première fois vers l’âge de 12 ou 13 ans. Mon école secondaire étant au cœur de leur ‘’domicile’’, a fait qu’au long de mes cinq années d’étude je les ai croisés matins et soirs. Ces individus aux cheveux de couleurs vives et au look agressif ont attiré mon attention et je dois avouer que j’ai toujours été intrigué d’en apprendre un peu plus sur eux. Voilà pourquoi j’ai été automatiquement attiré vers la sous-culture punk lors du choix de mon travail de recherche.

Les punks ont un look bien particulier. Chaque particularité de leur style nous permet facilement de constater qu’ils font partie de cette sous-culture. L’habillement des punks connote avec la sexualité sadomasochiste. Ils transmettent par leur style vestimentaire des émotions violentes et sexuelles qui ne laissent pas les gens indifférents. Ils portent de nombreuses parures comme des ceintures et bracelets en cuir noirs cloutés, collier de chien et même chapeaux de cuir noirs personnifiant le nazisme. Les punks ont tendance à superposer plusieurs couches de vêtements de coton ou de cuir. Comme chaussures les punks portent des bottes militaires à plateforme et certaines filles se chaussent de talons hauts pour bien compléter leur look au stéréotype de la prostituée. Ces femmes s’habillent de collants à résilles superposées par une jupe courte ou d’un pantalon. Au niveau de leurs cheveux, les punks se les décolorent ou bien les teintent de couleurs agressives comme le rouge, le vert et le bleu. Les coupes courtes sont plus fréquentes que les longues et les coiffures les plus souvent observées sont les cheveux crêpés et la crête iroquoise. Pour compléter leur look belliqueux, les punks ne laissent pas de côté le maquillage. Contrairement à la majorité de la population qui utilise le maquillage dans le