Pôle de compétitivité
L’auteur de l’article tiré de « The Economist » datant du 9 mars 2011, dénonce la stratégie consistant à mettre de coté les investissements en infrastructures afin de se concentrer sur le développement des grandes villes telle que Londres.
En effet, Le Financial Times, estime que la meilleure stratégie pour la Grande Bretagne est la construction de plus en plus de « building » ainsi que l’augmentation de l’immigration de travailleurs qualifiés, tandis que pour l’auteur cette stratégie est une « idée terrible » car si elle était appliquée alors tout l’activité serait exclusivement concentrée sur Londres, ce qui suppose être au plus proche de la capitale, donc cela générera un exode rural très important.
2. Les variables du choix de localisation d’une entreprise, entre un centre urbain et une zone périphérique, dépendront de trois grandes causes qui sont les externalités positives, les rendements d’échelles et les interactions stratégiques.
Les externalités positives regroupent tous les mécanismes qui font que le regroupement de personnes bénéficie involontairement à d’autres. Ces externalités peuvent être d’origine marchande ou non.
Les externalités de marché lié à l’agglomération représentent essentiellement les rentes foncières, qui sont d’autant plus élevées qu’il y à une forte concentration de population et qui décroissent lorsque l’on s’éloigne de la périphérie urbaine.
Les externalités d’origine non marchande sont liées aux avantages de la présence d’une communauté nombreuse et de possibilité de rencontre ainsi offertes. Cela permet de faire circuler l’information, de connaître davantage de personnes et de stimuler la créativité.
Les rendements croissants c’est à dire une efficacité accrue de l’échelle de production peuvent être classés en trois types, économie d’échelle intra-entreprise, des économies de