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1915 mots 8 pages
Dissertation

Depuis toujours l’Homme a essayé de transmettre ses idées et persuader autrui que c’est lui qui a raison, c’est l’argumentation. Ainsi, en différentes situations, différents auteurs font recours à l’argumentation pour mettre en place des changements qu’ils jugent corrects. En s’appuyant principalement sur trois textes, deux textes écrits par de grands écrivains des lumières, l’un étant un essai de Montesquieu, extrait de De l’esprit des lois et l’autre un conte philosophique, Candide de Voltaire, et le troisième, datant d’il y a beaucoup plus longtemps, avant J.C, une fable d’Esope L’aigle et la renarde. Tous trois représentent genres différents et effets différents chez le lecteur. Nous pouvons donc nous interroger quel de ces genres est celui qui fait passer le mieux les idées de l’auteur. L’axe qui semble se suggérer et que l’on abordera consiste à voir en premier le sérieux de l’essai, comment il incite à la réflexion et comment le font les autres genres, ensuite sa position et son procédé d’argumentation. Ensuite nous verrons quel est l’aspect séduisant de la fable et du conte philosophique, de l’argumentation indirecte, du rôle de la fiction et le caractère des messages que portent ces deux genres. Dans les genres de l’argumentation, les auteurs doivent justifier leur thèse, opinion et point de vue d’une problématique et en persuader le lecteur ou ébranler les contradicteurs, faire douter les adversaires et basculer les indécis. Pour cela il faut pousser le lecteur à réfléchir. Il le fera le plus facilement lorsqu’il est intrigué, par-exemple, le conte philosophique est dans ce cas le plus intriguant grâce à son récit et personnages mais aussi car le procédé ironique ( emploie d’antiphrases tels que « bel autodafé », à la ligne 4, ou « petit feu », ligne 6 ainsi que périphrases) est comique lorsque dans le texte de Montesquieu il n’y a aucune vraie histoire et dans la fable, c’est une histoire qui est plus intéressante aux enfants, à

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