Question transversal

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Quel rapport le poète entrentient-il avec la nature dans les poèmes ("l'isolement", "le lac" et "le vallon")?

Le corpus a étudier est composé de trois poèmes "le lac", "l'isolement" et "le vallon" extrait du recueil les méditations poétiques d'Alphonse de Lamartine, édité en 1820. Nous allons donc voir quels rapports il entretient avec la nature dans les poèmes. Nous pouvons déjà présenter le point commun de ses trois poèmes dans chacune des poésies la nature reflète l’état d'âme du poète.

Tout d'abord la nature reflète toujours les états d'âme d'Alphonse de Lamartine. Quand, dans l'isolement, le poète est triste, désespéré et traumatisé par la perte de son aimée, la nature est sombre et ténébreuse, sans vie, elle ne laisse place ni à l'amour, ni à l’espoir, ni même à l'avenir. Tandis que dans le poème ''le lac'', il se rappel des souvenirs joyeux qu'il a passé auprès de sa moitié, alors la nature est magnifique et crée une atmosphère romantique. Enfin dans ''le vallon'', la nature et le poète sont en parfaite communion, le poète se sent en paix et calme dans cette nature qui reflète ses sentiments d'harmonie. Dans les trois poèmes la nature reflète l'état d'âme du poète mais dans chacun des poèmes les sentiments ne sont pas les même.

Ensuite Alphonse de Lamartine peut se sentir extérieur à la nature comme dans ''l'isolement''. Tout ce que le poète voit ne l'affecte plus depuis la perte de sa bien aimée car « un seul être vous manque et tout est dépeuplé ». Il n'attend plus rien de la nature. Il se considére déjà comme mort. Enfin il est traumatisé par la mort de l'amour de sa vie et dit dans son poème « nul par le bonheur ne m'attend ». Alphonse de Lamartine a déjà laissé tomber tout espoir de retrouver un bonheur et une vie. Il est donc indifférent à la nature, il la trouve inutile « mais à ces beaux tableau mon âme est indifférente ».

Enfin la nature peut être pour le poète une amie et un confidente