Quelque chose qui ne faut pas prendre
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Les caméras dans le film sont en arrière plan, portant un œil sur chaque plan, le film se déroule on en oublie les caméras mais des séquences nous montrant les ruelles nous rappelle qu’elles sont vraiment partout. Chaque rue possède la sienne afin d’apporte un soutien externe aux milices qui eux font des rondes. Ces caméras sont prisent en main par deux policier qui se relaient à la surveillance des rues. Ces caméra ont un aspect malsains mais tout autant rassurant pour ce qui y vivent, qui si y sont habitués. Habitué à être constamment observé, ils ont un sentiment de sécurité à l’idée d’être en permanence surveiller quoi qu’il arrive. C’est cette habitude qui leur à fait peur le soir de l’orage, une coupure de courant, plus d’électricité, plus de caméra, plus surveillance et les folies de la peur s’installent dans l’esprit de tout les habitants.
Les murs, les barbelés, les caméras, les milices, quatre mots du champ lexical de la prison, une prison « paradisiaque » où il est libre de faire ce que l’on veut. Libre ? Non, pas totalement libre, libre de ces faits et geste, qui ne portent atteinte à la vie communautaire de la Zona. Une bavure dans ce type de système n’est pas considéré comme un délit, il évite que l’affaire ne fasse trop parler d’elle et achète le silence des personnes. Le regret, c’est ce qui hante les habitants d’avoir pêché et d’avoir étouffé sans que justice soit faite. Tout ce système, en font des personnes « anarchiste », en effet avec tous les événements qui se dérouleront au fil du film, certaines personne ne voulant pas que sa se passe comme sa, envisage de quitté la