quels visages de la mendicité présentent ces trois documents ?
Comme il me tarde de vous conter mes innombrables mésaventures...
Tout a commencé le jour où j'ai dû provisoirement m'absenter de la maison close de Madame.
Cette dernière était priée à la communion de sa nièce et c'est à ma grande joie que madame nous a à son tour convié à cet événement.
La cérémonie ayant lieu à Virville, nous avons voyagé en train dans lequel des paysans ainsi qu'un homme ayant fait preuve de grossièreté à notre égard ont croisés notre chemin.
Mr Rivet nous attendait sur le quai, nous avons emprunté sa voiture qui nous a mené jusque chez lui. J'étais alors éreintée !
Après avoir sommeillé au côté de la nièce de Madame, nous nous sommes réveillées à l'aube, éperonnées par la cérémonie qui arrivait à grands pas.
C'est avec émotion que mes chères collègues et moi avons choyé la petite avant de s'acheminer vers l'église.
Quand fut enfin arrivé le moment de la cérémonie... Les cloches ne cessaient de sonner, les communiants, garçons et filles, tous vêtus de leurs plus belles toilettes se dirigeaient vers le bâtiment communal, puis vers l'église.
Les parents eux, leur emboîtaient le pas. La famille Rivet était évidemment honoré de la présence du grand nombre de parents qui suivaient Constance. Les autres villageois et parents présents étaient très impressionnés par tous ce monde qui entouraient la nièce de Madame.
Quand les enfants arrivaient dans l'église, les garçons marchaient en files, devançant les filles qui les suivaient, également les unes derrières les autres.
C'est à cet instant que sommes entrées, mes camarades et moi, il me semble que nous ne sommes point passées inaperçues, il faut dire que nos accoutrements étaient bariolés d'une multitudes de couleurs.
Durant l'office, j'occupais le second banc au côté de Mr Rivet. Les enfants tenaient tous des cierges tels des anges. J'étais alors profondément émue devant ces enfants et ces lumières semblables à des étoiles.
Je dois d'ailleurs vous avouer que