Question de corpus sur la peine de mort

1) Argumentation indirecte

A)Argumentation indirecte

On dirait un journal intime
Une poesie sous forme de récit

B)Persuader

Registre pathétique tragique et lyrique

2)Argumentation directe

A)Démontrer mathématiques, argumentation but délibératif
1) la loi du taillon

2) Réfuter

Pour cette question de corpus nous allons étudier 3 textes : Le premier est un extrait du Roman “Le dernier jour d’un condamné” écrit au 19eme siècle par Victor Hugo. Le suivant est un extrait du poème “Les Châtiments” écrit au même siècle par Victor Hugo. Le dernier est un extrait de l’essai “Réflexion sur la guillotine” écrit au 20 eme siècle par Albert Camus. Ces trois textes s’opposent à la peine de mort avec plusieur argument et techniques que nous allons voir ici. Nous allons tout d’abord étudier la forme du test ainsi que les différents registres employé par l’auteur. Ensuite nous allons observer l’emploi du regisre polémique par Victor Hugo, ainsi que le raisonnement concessif utilisé pour réfuter la loi du Taillon.

Tout d’abord, nous pouvons observer que dans les deux premiers textes, Victor Hugo utilise le registre pathétique : “Pauvre petite ton père qui t’aimais tant”, “supplice”, “Infortunés” afin de faire éprouver de la pitié au lecteur et ainsi de le persuader de l’injustice de la peine de mort. Il dénonce également cette pratique en prenant pour exemple pour la famille des condamnés : “Ton père qui t’aimait tant [...] Qui est-ce qui te feras tout cela maintenant?” . L’auteur utilise également le registre Lyrique, tout d’abord avec le thème de l’amour “Qui