questions hugo stendhal dumas camus Dissertations et mémoires
Ce corpus est composé de trois extraits de romain du XIX et du XX ème siècles. Le début du roman du Dernier jour d'un condamné de Victor Hugo, Le comte de Monte Cristo d'Alexandre Dumas ainsi que la dernière partie de L'étranger d'Albert Camus.
Dans les deux extraits de Victor Hugo et d'Albert Camus, le narrateur est interne, il est écrit a la 1ere personne du singulier. Pour Le dernier jour d'un condamné, « j'habite », « je viens de me réveiller ». Le lecteur peut donc s'identifie à travers le personnage et connaître ses pensées. Pour l’Étranger « je suis rentré », « je ne comprenais pas ». Cela laisse à penser que l'auteur raconte cet événement de sa vie, comme un journal intime. Le lecteur est dans les pensées et dans les gestes du personnage.
Néanmoins dans les extraits de Stendhal et de Dumas, les narrateurs sont externes, en effet ils utilisent la troisième personne du singulier pour désigner le personnage principale « il ne pouvait », « lui n'avait » « il courut » 3Fabrice s'amusait. Cependant le point de vu dans l'extrait de Stendhal est interne puis quelle lecteur peut voir a travers les pensées du personnage, il sait tout de lui. L'auteur fait une description de la vu par la fenêtre de sa prison. Le lecteur peut savoir ses sentiments, et son état grâce a l'adjectif « ému ». Dans l'extrait de Dumas on sait que le personnage est « simple » et « sans éducation », ce qu'il peut difficilement pensé de lui même. Mais, le lecteur connaît ses propres pensées, « sa rage » et sa « fureur ».
Pour l'extrait de Victor Hugo, le personnage vit son emprisonnement comme une pensée négative « une pensée infernal », « une horrible, ne sanglante, une implacable idée » Son esprit est emprisonné, il fait une comparaison avec un spectre de plomb comme si il ne pouvait plus rien penser « un spectre de plomb ». L'auteur décrit au début de l'extrait le pour