Dans son livre Le christianisme et la Révolution française, publié en 1845, Edgar Quinet argumente la position de l’église en France pendant les années de la Révolution. Il parle de la relation entre la politique et la religion, c’est-à-dire, entre l’état et l’église. Il s’en fâche avec les révolutionnaires pour les libertés dans le gouvernement qu’ils prennent, particulièrement par rapport à l’église. Avant la révolution, l’église était alignée avec le roi. Les membres du clergé avaient des pouvoirs et des privilèges dans le gouvernement égaux auxquels des nobles. L’église était la propriétaire la plus importante du pays et la dîme qu’elle réclamait de cette terre, était considérable. Dans les petites villes, le clergé, étant le plus instruit, s’occupait des archives civiles, de l’éducation, et de la santé des paysans. Alors les prêtres jouaient un rôle essentiel dans le gouvernement central aussi que dans la vie de tiers état. Quinet dit que les hommes « à gauche » disaient qu’ils voulaient réformer l’état à une forme de gouvernement plus démocratique. Étant donné que le clergé était aligné avec le roi avant la révolution, les républicains voyaient l’église comme adversaire et menace, donc, une organisation dont ils devaient être maîtres pour le bien du pays. Alors, les républicains disaient qu’ils devaient réformer l’église pour construire cette démocratie. Néanmoins, Quinet dit que les révolutionnaires ont fait des « réformes » pas seulement sans consulter avec le clergé, mais aussi sans réfléchir au rôle de l’église dans la vie des peuples. Ils disaient qu’ils travaillaient pour les peuples, c’est à dire pour le tiers état, mais ils ne comprenaient pas l’importance de la religion pour eux. Quinet croit qu’un facteur important est la position sociale des hommes dans l’Assemble. Ils ne venaient pas ni de la campagne, ni d’un petite village. Ils ne venaient pas de la pauvreté et ils étaient bien instruits. Ils disaient qu’ils savaient le meilleur pour les