Alors que l'Américain se préparait se baladait au bord du pont neuf , il s'arreta devant un magasin pour femme, nomme la belle jardinière , il remarqua qu'il était seul, et que, partant pour la bataille de la somme le lendemain, il aurai aimé faire un cadeau à une femme inconnu, une femme qui ne connaissait ni les souffrances de la guerre, ni la peur de ne pas retrouver un jour sa famille.Il entra dans le magasin, en regardant d'un regard flou, le sillons de l'eau, dessinés par les bateaux naviguant sur la Seine, et la masse pressante des personnes insouciantes, qui, pour la plupart ne savaient pas la douleur que procurait la contrainte de partir quelque par d'où personne ne revenait. Il se dirigea ver un homme d'une quarantaine d'années qui paraissait assez sur de lui, pour l'aider a trouver ce qu'il cherchait. IL aborda l'homme en lui formulant quelques phrases en Anglais. Par chance, l'homme comprenait à peu près cette langue. Il lui dit qu'il était le chef de rayon, et qu'il allait l'amener dans le rayon toilette de femme, ou une charmante jeune fille parlant anglais allait s'occuper de lui.En entendent ces mots, il compris que ce serait elle la femme à qui il donnerait son cadeau, il fut envahi d'un espoir soudain, comme si tout s'arrêtait .Le chef de rayon le coupa dans es pensées pour lui dire que le magasin allait fermer, et qu'il devrait se dépêcher. IL lui dit de le suivre , et au moment, ou ils entrèrent dans le rayon "toilette de dame", le chef de rayon héla le nom de: "Juliette".Celle ci se retourna brusquement. Elle avait un visage blanc, éclatant,orné de petites taches de rousseur entourant le plus beau nez qu'il n'avait jamais vu. Elle le regarda longuement puis le chef de rayon partit. L'Américain la regarda, puis fut pris d'une terrible timidité, il était fige sur place, incapable d'aligner trois mots. Elle le regarda avec attention puis formula une question qui détendit quelque peu l'atmosphère : "May I help you sir?" L'Américain était trop