Regard de de gaulle sur l'allemagne
De Gaulle ecrit les Memoires de guerre en 1959. Cette oeuvre se constitue de trois tomes : L'Appel 1940-1942 ; L'Unité 1942-1944 et Le Salut 1944-1946. Dans ce dernier tome il fait le portrait de nombreux personnages tel que Churchill ; Staline et Hitler. Il nous donne aussi son point de vue sur différents pays, ce qui nous amène donc à nous demander quel regard De Gaulle porte t-il sur l'Allemagne.
D'abord nous allons voir dans une première partie le regard rempli de pitié que le memorialiste porte sur ce pays, puis dans une seconde partie nous verrons qu'il porte un regard different sur le pays conquerant.
Dans le chapitre Discordance, De Gaulle montre bien la pitié qu'il éprouve envers l'Allemagne. Il parle en premier lieu de l'armée qui représentait l'Allemagne, et la qualifie de "lamentable". Par la suite, le memorialiste décrit les villes et leurs "monceaux de décombres", la population dont il dit que les hommes ont presques tous disparus. Dans le ton et dans les mots que l'Homme utilise on comprend sa pitié pour l'Allemagne, comme il le dit en tant qu'Européen lorsqu'il voit tout cela il sent "se serrer son coeur". Son regard est en même temps compatissant, il pense au niveau de vie de Allemands à partir de maintenant et à la reconstruction de l'Allemagne. De Gaulle s'exprime sur le fait que l'Allemagne soit coupée en deux, et que les soviétiques veuillent garder les terres allemandes.
Dans ce même chapitre, on peut apercevoir un regard presque admiratif sur ce pays qui à reussi la domination de plusieurs autres.
De Gaulle insiste sur le fait que l'Allemagne, en l'espace de trois fois dans la vie d'un homme, est reussi à conquérir autant de territoires.
En découlant d'un regard admiratif, on peut en reveler un amical. De Gaulle, à travers les ruines, les morts, et les humiliations qu'à subit l'Allemagne, aperçoit une lueur d'espoir pour des possibilités d'entente et peut être même de