Resume Rouss
Rousseau voit dans la famille « la plus ancienne de toutes les sociétés et la seule naturelle ». Ce chapitre est notamment l’occasion pour Rousseau, comme il le fera plusieurs fois par la suite, de critiquer les thèses des auteurs qui le précèdent, comme Grotius, Hobbes, ou encore Aristote. >> Résumé Chapitre III - Du droit du plus fort, Du Contrat social, Rousseau
Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir.
Rousseau, Du Contrat social, Livre I, Chapitre III
Pour subsister, la force doit se convertir en droit, et l’obéissance en devoir. Rousseau tâche de comprendre dans ce chapitre ce qu’il faut comprendre par l’expression « droit du plus fort ». Sa conclusion est que l’on est obligé d’obéir uniquement aux aux puissances légitimes.
>> Résumé Chapitre IV - De l’esclavage, Du Contrat social, Rousseau
D’une double constatation :
1. Aucun homme n’a d’autorité naturelle sur un autre
2. La force ne produit aucun droit
Rousseau en tire le principe que seule la convention peut constituer une autorité légitime.
Personne ne s’aliène, ne se fait esclave, volontairement, ce serait s’opposer au bon sens. Ou alors seuls les fous le font, mais en ce cas ils ne sont pas esclaves dans le droit, car « la folie ne fait pas droit ». >> Résumé Chapitre V - Qu’il faut toujours remonter à une première convention, Du Contrat social, Rousseau
Avant de savoir comment sont institués les rois, il s’agit de comprendre « l’acte par lequel un peuple est un peuple ». C’est en l’occurrence par la convention. >> Résumé Chapitre VI - Du pacte Social, Du Contrat social, Rousseau
Il s’agit ici du chapitre clé du Contrat social. Rousseau y