Nous poursuivons donc avec le deuxième sujet (pourquoi) développé dans la DH. C'est l'un des plus grand point de son histoire qui fait débât, le Testament de Jean-Luc Delarue, publié dans le Journal du Dimanche, en mécontente plus d'un au sein de sa famille, celle-ci ayant déjà fait opposition au condition de son enterrement en août 2012, affirme le journal La Libre. Il est vrai que la colère de ses proches est compréhensible puisqu'il lègue la majeure partie des ses biens, en l'occurence un appartement Parisien et une résidence dans la commune de Sauzon à son fils et à sa femme, Anissa Khelifi, qu'il a rencontré 3 mois après la rédaction de son Testament, celui-ci ayant été formulé le 16 février 2012, soutient la DH. Jean-Luc Delarue stipule dans son ultime récit qu'il lègue à son fils Jean sa société "Reservoir Prod." nomant ainsi un tuteur à son fils pour que celui-ci veille à ce que son épouse veuve ne puisse jouir des fruits récoltés par l'entreprise. La valeur cumulée des biens du défunt s'estimerais à 30 millions d'euros, précise la DH. Malgré les affirmation de son père stipulant qu'ils avaient tous deux entretenu de bon rapport jusqu'à la mort de son fils, Jean-Claude, parent du défunt n'obtiendra même pas un sous de ce lègue, rapporte l'éditeur. Bien que Jean-Luc ait parfaitement rédigé ses dernières volontés, il se pourrait bien qu'elles ne soient pas totalement respectées puisque dans le courant de la semaine plusieurs notaires répartirons équitablement les biens de l'animateur, comme la loi le prévoi.
Nous entamons à présent le troisième sujet de cette revue de