Roman arthur rimbaud
Arthur Rimbaud est un grand poète Français de la seconde moitié du XIXème siècle. Né à Charleville, dans les Ardennes, il est élevé très sévèrement par sa mère. Il se révolte dès l'âge de seize ans et Il ne va plus à l'école. Heureusement, il se lie d’amitié avec son professeur de français, Georges Lzambard, qui l'encourage à écrire. Nous allons étudié «Roman», un poème qu’il écrit en 1870. Il exprime l’intensité des premières impressions amoureuses. Nous allons tout d’abord aborder l’importance des sensations dans ce poème, puis la vision de l’amour exprimé par un adolescent, et pou finir nous parlerons de l’humour du texte. Pour commencer, nous allons parler du saisissement des sens. Nous allons voir que la vision est connecté à différents sens, comme le touché: Le scintillement de l’étoile devient «de doux frissons». Le touché est encore mis en scène pour décrire le contact de l’air sur le visage, il est «si doux, qu’on ferme la paupière». Dans l’obscurité, la peau apporte plus d’information que les yeux. Le poète qui n’y voyant pas clairement, doit alors faire appelle à ses autres sens, comme l’ouïe. Seul les «bruits» distincts lui permettent d’avoir une vision de son environnement : «cafés tapageurs». La vue du poète est brouillé par l’obscurité: «Un beau soir» (vers 2) et «les bons soirs de juin !» (vers 5). Les tilleuls sont là pour souligner l’odorat: «Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !». L’ivresse est une autre manière d’apprécier l’environnement. Le parfum des tilleuls qui est présent du début à la fin de «roman», le «parfum de vigne» ou bien encore l’odeur de la «bière» nous rappelle la gaieté des fête d’été, la libération des instincts. Ces senteurs nous laisse sous entendre l’ivresse qui est décrite explicitement par les verbes «griser», «divague» et «palpite», elle est aussi décrite par la sève qui monte à la tête du poète. Cette ébriété diminue le contrôle de la raison sur le