Je m’appelle Ferdy Ceylan. Je suis chercheur généticien. Je viens d’être engagé par le laboratoire Meike dans le but de travailler sur la mutation d’un virus dangereux. L’équipe précédente est partie et la responsable est morte le mois dernier d’une crise cardiaque. Mon objectif est de regrouper une équipe capable de contrôler ce virus mutant attaquant l’hémisphère droit du cerveau. Les meubles et les accessoires nécessaires à ma recherche sont très mal organisés dans le laboratoire et ne me permettent pas de travailler correctement. Je décide donc de ranger pour que celui-ci soit adapté à mes habitudes. En déplaçant une armoire en métal je découvre un manuscrit de Nicolas Jages « Raoul Bohic et le trésor perdu des chevaliers du Temple ». Celui-ci est très endommagé et scellé sous une protection en plastique. J’en conclue donc que les pages sont peut-être contaminées. Je reste très étonné de tomber sur un manuscrit en plein laboratoire de recherche. Comme électrisé j’arrête mes occupations et me met à l’étudier après avoir vérifié qu’il n’y avait pas de germes suspects. Le début du livre raconte l’histoire d’un trésor perdu depuis plus de 200 ans : le trésor des Chevaliers du Temple. Raoul Bohic, archéologue et aventurier, se lance à la recherche de ce trésor qui a hanté les pensées de sa famille et de ses descendants depuis des générations. Bohic et son meilleur ami Hubert Destuesse, expert en informatique, partent en exploration sur le continent Arctique et découvrent que le premier indice menant au trésor est caché dans le document le mieux gardé au monde, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Les quatre-vingts premières pages sont vraiment passionnantes malgré les nombreuses ratures et les annotations qui s’entremêlent parfois avec le texte. L’auteur a un style très rapide. Les rebondissements s’enchaînent très vite avec beaucoup d’action et d’humour.
Mais à partir de là l’histoire va commencer à devenir spéciale et irréaliste. On a