Roman
1756-1791
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Dessin à la pointe d'argent de Doris Stock (1781)
né à Salzbourg, principauté du Saint Empire romain germanique, le 27 janvier 1756[1] – mort à Vienne le 5 décembre 1791[1]) est généralement considéré comme l’un des plus grands compositeurs de la musique classique européenne. Bien que mort à trente-cinq ans, il laisse une œuvre importante (626 œuvres sont répertoriées dans le Catalogue Köchel) qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains c’était, au piano comme au violon, un virtuose.
On reconnaît généralement qu’il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate qui deviennent après lui les principales formes de la musique classique et qu’il est un des plus grands maîtres de l’opéra. Son succès ne s’est jamais démenti.
Wolfgang est le septième enfant du couple
Son père Leopold Mozart, (1719-1787), compositeur, est vice-maître de chapelle du prince-archevêque de Salzbourg. Il est un professeur de violon prisé
Il est un enfant prodige. A l'âge 4 ans il aurait joué du clavicorde et à 5 improvisé des menuets. Il étudie le violon avec son père. Sa sœur Marianne (Nannerl), de 5 ans son aînée est également musicienne.
En janvier 1762 Nannerl et Wolfgang jouent devant le Prince-Electeur de Bavière à Munich. En septembre ils sont invités par l'impératrice Marie-Thérèse.
En 1763, les Mozart font une tournée de concerts, à Munich, Augsbourg, Ulm, Mannheim, Francfort, Cologne, Aix-la-Chapelle, Bruxelles et Paris où ils séjournent 6 mois et sont accueillis par les philosophes des lumières (Melchior Grimm, Diderot, d''Alembert ...) et dans la suite de Madame de Pompadour.
En 1769, il part en Italie avec son père : Rovereto, Vérone et Mantoue, où il se produit et dirige ses oeuvres. A Rome, il transcrit de mémoire le Miserere de Gregorio Allegri dont il est interdit de recopier la partition. A Bologne, il rencontre le Père Martini ;