Je pense qu'il est possible pour l’organisme de poursuivre son indépendance financière tout en en se recentrant sur le segment ultra-pauvres du Bangladesh.

Au cours de leur croissance et leur expansion internationale, l'une des contraintes que l’organisation rencontrent en ce moment est de savoir comment maintenir une croissance tandis que leur situation financière est financées des dons.

Les bailleurs de fonds avaient beaucoup diminué au cours de ces années BRAC doit donc devenir aussi autonomes que possible par le biais des frais de service, des bénéfices provenant des ventes de produits de santé et du revenu généré par BRAC commercial Project .

En vue d'atteindre et d'aider les personnes les plus pauvres 25% au Bangladesh, BRAC a commencé un nouveau projet en 2002 et s’est également aventuré en dehors du Bangladesh pour la première fois en s’inscrivant comme une ONG étrangère en Afghanistan, offrant des crédit pour les pauvres, l'éducation primaire pour les filles, et les cliniques de santé pour tous.

Bien que cette cible soit difficile à atteindre, l'ensemble des projets autour d'eux ont besoin davantage d'efforts en particulier dans le secteur financier.

Il faut donc un autre état d'esprit, une approche différente, et d’autres mesures de réussite.

D'après le tableau à la fin du cas, nous pouvons voir que l'organisation BRAC a un revenu net positif durant toutes ces années. Et les revenus générés par les activités commerciales sont près de 18 fois plus que celui de la Grameen, bien que les dépenses de fonctionnement du BRAC aient fortement augmenté de 1980 à 2002.

Ce fait signifie que BRAC a la capacité de faire des profits afin d’assurer la pérennité de l'organisation à l'avenir.

Malgré le fait que dans l'article, l'auteur fait remarquer que pour le projet, les délais requis seront beaucoup plus longs que pour d'autres programmes et que ce dernier ne pourrait pas bénéficier d’un autofinancement.

Il existe encore