récit fantastique
Le 12 novembre 1974, la famille Montgomery décida d’aménager dans un quartier paisible. Après la mort d’Edward Montgomery, la famille très attristée par cette situation, ne supportait plus de vivre sur ces lieux. L’avenue était habillée de longues trainées de feuilles mortes de couleur jaunâtre- brune. On pouvait y sentir l’air frais de l’automne et le vent emporter les feuilles en tourbillon. C’était une maison isolée, non loin d’une forêt. Arrivée dans la maison, le voisinage fut très aimable et les aida à s’installer.
Un jour, sur le chemin de l’école, Aria Montgomery, âgée de 23 ans, étudiante en littérature et passionnée par les livres fantastiques qui rêvait d’en écrire un, aperçut une brocante. Par curiosité, elle décida de s’y rendre car elle aimait acheter des livres de seconde main.
Arrivée sur place, elle fut attirée par une machine à écrire, quelque chose de fort l’attirait et décida de l’acheter pour écrire son livre fantastique. De retour à la maison, elle l’installa sur son bureau et tapa quelques lignes. Elle y décrivit la forêt qui se situait derrière chez elle, comme une forêt maléfique, qui garderait toutes personnes s’y aventurant la nuit prisonnières. Après quelques heures d’écriture, elle décida de se coucher. La nuit elle fut réveillée par des bruits étranges provenant de la forêt. Elle regarda par la fenêtre, et se dit que ça devait être le vent d’automne. Le lendemain matin, lors du petit déjeuner familial, ils entendirent l’étrange disparition de leur voisin, qui en soirée avait décidé de faire un footing dans la forêt, ce que déclara son épouse au journaliste. Cette étrange nouvelle lui fit penser à son récit de la veille.
C’était un samedi pluvieux, Aria décida de rester à la maison et de taper un nouveau récit, celui d’une araignée maléfique qui s’introduit chez les gens pour ensuite leur dévorer une partie de leur corps. Une histoire assez effrayante, inspiré de son livre préféré « Maléfices » de
Maxime Chattam.