Réflexion sur l'inconscient de Freud
Dès les premières lignes Freud s’insurge contre une majorité pensant que l’hypothèse de l’inconscient est sans fondement scientifique. Freud pour sa part pense le contraire , juge l’inconscient nécessaire et légitime. De plus, l’auteur nous prétend détenir des preuves de l’existence de cet inconscient. Pour prouver l’existence de cet inconscient , une notion vague au début de 20e siècles , Freud nous dit que l’étendu des lacunes en matière de connaissance du conscient suggère forcement l’existence d’un inconscient ancré en chacun de nous. Puis il argumente sa thèse en expliquant que certains actes comme les lapsus révélateurs ou tels les actes manqués sont le reflet de ce même inconscient. Ces actes sont présents aussi bien chez un individu normal , que chez une personne malade psychologiquement. Ces actes ou pensées sont le fruit de notre inconscient , ils apparaissent tous les jours et plusieurs fois au quotidien. Freud nous dit donc de ces actes qu’ils ne peuvent être interprétable par notre conscient puisque notre conscient n’est pas en mesure d’expliquer ces actes ou pensées. Pourtant , après un rêve ou un lapsus , tout le monde peut s’interroger sur l’origine de ces phénomènes. Par exemple , le décor d’un rêve peut peut-être avoir pour source un lieu rencontré lors de la journée. La similitude qui unis ces lapsus ou rêve et ce décor est trop flagrante pour n’attribuer ce décor qu’au fruit de notre imagination. Imagination est employé ici pour designer le fait de se construire des environnements non réels. Pourtant Freud dit que l’inconscient demeure