résumé chapitre 1 les compétences
La compétence arrachée à la fatalité La compétence permet d’éviter la fatalité, tout le monde est éducable. On peut prendre exemple de l’enfant sauvage, où Itard a inventé des exercices pédagogiques aujourd’hui connu afin d’éduquer Victor « l’enfant sauvage ». Il est important de mettre en avant le respect de la liberté de l’élève. Sinon, on pourrait penser le doper pour qu’il apprenne mieux mais il préférable que l’élève soit placé en fonction du fait que ce soit lui qui doive se projeter dans le futur pour apprendre.
La compétence distinguée de la tâche :
Le résultat de la tâche importe peu (pas comme en usine) mais c’est l’apprentissage qu’elle induit qu’on regarde
Apprendre permet de développer des compétences mais aussi le goût du savoir, le sens de l’analyse, l’esprit critique
Il ne faut pas que les élèves réussissent à tout prix, mais qu’ils comprennent ce qu’ils font et comment ils font
La compétence : un outil pour penser le transfert : Principe de transfert : les compétences peuvent être utilisées autre part Effet boule de neige : en devenant expert, on peut utiliser cette compétence dans un autre contexte mais toujours à bon escient.
Les apprentissages ont du sens que s’ils sont réinvestit dans d’autres situations
Compétence maitrisée = réutilisable dans une situation nouvelle de même type que là ou elle a été acquises
Compétence transferable, il faut que l’apprenant reconnaisse les situations nouvelles où la compétence peut s’appliquer
Enseigner des compétences :
Notion qui doit sans cesse être interrogée
Pertinente sur le plan de la réflexion et de l’action pédagogique
Chapitre 2 : les compétences en question
Une notion relativement consensuelle Le Boterf parle « d’attracteur étrange » et Romainville « d’irrésistible ascension ». Perenoud dit que l’approche par compétence s’est d’abord développé dans les pays anglo saxons et gagne au fur et à mesure le monde