résumé Malavita de Benaquista
Mais chassez le naturel il revient au galop, Fred n'est pas Fred, Fred c'est le personnage lisse et carré que le FBI a créé pour cacher l'identité de Giovanni Manzonni. Giovanni c'est un sanguin, un violent qui a le sang aussi chaud qu'une sauce arrabiata bien relevée. Giovanni c'est un affranchi, un ancien Wiseguy qui a 16 ans avait déjà arraché les doigts d'un récalcitrant, qui a touché à la coke et aux filles à l'âge où je lisais Mon petit poney flamme. Giovanni il a vendu père, mère, cousins et tous les padrinis de la mafia New-Yorkaise pour sauver sa peau. D'où le lisse Fred, sa nouvelle vie et sa nouvelle identité dans le cadre d'un programme de protection des témoins.
Alors quand Fred trouve une machine à écrire à la cave et se met en tête d'écrire ses mémoires, lui qui n'a même jamais écrit un livre, le FBI voit rouge encore plus rouge qu'un sauce aux pepperonis.
Loin de moi l'idée de faire l'apologie du crime, qui plus est organisé, mais on (je) ne peux pas nier que La Cosa Nostra, La Pieuvre, L'Honorable Société ou quelle que soit son nom, que depuis Les Parrains, inspirés des livres de Mario Puzzo, ce monde exerce une fascination sur les lecteurs. Et là, ça ne rate pas, les bad boys moi j'aime ça ! Et quand c'est Benacquista qui raconte c'est un vrai bonheur !
Si vous ne devez en lire qu'un de Benacquista c'est celui là qu'il faut choisir.
Synopsis
« Ils prirent possession de la maison au