Sabrina payet educatrice spécialisée commentaire de l’ouvrage « l’accomplissement sexuel de la femme », écrit par léonie garfield barbach. dans ce livre, l’auteur nous fait part d’un certain nombre d’informations
Educatrice Spécialisée
COMMENTAIRE DE L’OUVRAGE
« L’accomplissement sexuel de la femme », écrit par Léonie Garfield Barbach.
Dans ce livre, l’auteur nous fait part d’un certain nombre d’informations et de connaissances sur la vie sexuelle des femmes. Elle partage avec nous l’expérience d’un groupe de femme participant à un programme d’exercices pour améliorer leur sexualité.
Selon une étude publiée en 1972, elle part du constat que seulement 50 % des femmes mariés ont un orgasme, et affirme que toutes ont la possibilité d’atteindre l’orgasme et d’accéder au plaisir par le biais d’apprentissages et d’éducation sexuelle.
Les différentes étapes menant à un épanouissement sexuel (connaissance du corps, de ses organes génitaux, des pratiques de la masturbation…) sont mise en exergues par l’auteur. L’auteur montre à travers cette expérimentation, qu’en prenant soin de leur corps, ces femmes ont commencé à devenir beaucoup plus active et prendre en charge leur sexualité. Comme chez les hommes, cela a entraîné une plus grande estime de soi et des répercussions positives dans le quotidien.
L’auteur met l’accent sur le fait que les réactions au niveau sexuel sont différentes. Elle note que la majorité des femmes ayant participé à ce programme, ont pu atteindre l’orgasme. Ce livre nous montre que l’ont peut apprendre la sexualité en apprenant à connaitre son corps notamment par la pratique de la masturbation qui permet d’accéder à un plus grand épanouissement et à une relation satisfaisante avec un partenaire.
L’auteur évoque l’égalité homme/femme sur le plan des besoins biologiques et sur les capacités orgasmiques. Elle montre que beaucoup de tabous, mythes mais surtout beaucoup d’ignorance persistent dans ce domaine. Elle définit l’orgasme comme « le soulagement naturel et normal faisant suite à la tension sexuelle ». Cette tension s’accumule aussi bien chez l’homme que chez la femme et contredit ainsi l’idée préconçue que l’homme à plus de