Dissertation sur le sujet des femmes cloîtrées selon libération.fr :
Le texte intitulé « Certaines femmes seront cloîtrées », publié le 13 janvier 2010 sur le site Libération.fr, traite d’une interview : Le sociologue Samir Amghar étudie le rapport entre la pratique du port de voile intégral et le mouvement salafiste.
Depuis les 30 dernières années on constate en France une augmentation excessive du port du voile intégrale , c'est-à-dire le niqab. Actuellement les salafistes en France ne représentent qu’une infime minorité de musulmans, mais leur nombre est en forte progression.
Le fait de porter le niqab ne signifie pas forcément faire parti des salafistes : En effet, le voile intégrale est porté couramment au travers d’autres mouvements et on le retrouve aussi chez des femmes n’appartenant à aucune structure organisationnelle.
Les femmes voilées ne représenteraient pas un danger pour la société dans la mesure ou ces femmes respectent les valeurs de la République. Le fait d’appartenir au mouvement salafiste est totalement incompatible avec les valeurs de la république.
Néanmoins on constate que le salafisme s’est très bien s’adapter à d’autre culture et se francise, ce qui permet à de nouveaux membres de faire parti de cette secte en restant au sein de leur famille, contrairement au passé ou tous les membres de la secte devaient rompent les liens familiaux.
L’objectif principal des salafistes n’est pas l’islamisation de l’Europe, mais la mise en place de conditions qui leur permettraient de pratiquer leur vision de l’Islam comme ils l’entendent, ainsi, l’interdiction du voile pourrait avoir de fortes conséquences, comme la claustration des femmes à la maison ou l’émigration dans un des pays musulmans.
Il ne faut pas oublier qu’une bascule vers le terrorisme est toujours possible, car il suffit d’une seule personne radicalisée pour influencer toute un groupe et produire cet effet de radicalité.