Salut
Sauvé pour servir Daniel Kolenda Octobre 2009
... Ce qui est votre service raisonnable (Romains 12 : 1) Cyrus, le roi de Perse captura un chef rebelle nommé Cagular et avant de l’exécuter, lui posa une question : « Si je devais vous sauver la vie, que feriez-vous en échange ? » Cagular répondit : « Ô roi, je vous servirais le reste de mes jours ». On aurait tendance à penser que la promesse de Cagular de faire allégeance et de servir Cyrus n’est rien de plus qu'une obligation raisonnable et attendue en échange du pardon et de la grâce du roi. Cagular reconnait aussi que parce qu’il est sauvé, la moindre des choses, c’est de servir. Dans le chapitre 8 de Matthieu, nous pouvons lire que la belle-mère de Pierre était couchée avec de la fièvre. Jésus est venu chez Pierre et le verset 15 dit : « … il toucha sa main et la fièvre la quitta : elle se leva et les servit ». Les mères, les grand-mères et les belles-mères … sont toutes les mêmes, j'imagine. Si elles peuvent respirer, elles travaillent. Au moment où la belle-mère de Pierre fut en mesure de se lever, elle était de retour dans la cuisine, servant les invités et leur faisant du bien. J'aurais probablement dit : « Repose-toi maman ! Tu sors du lit … tu n'attends pas d’autres invités ! Laisse quelqu'un d'autre servir le thé et les biscuits ». Mais comment pourrait-elle rester en place ? Jésus l’avait touchée et guérie. Elle se sentait poussée de se lever et de servir. Notez que Jésus ne l'a pas arrêtée. En fait, peut-être s'attendait-Il à cette réaction dès le début.
Sauvé pour servir (Daniel Kolenda)
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Dans Romains 1 : 14 et 15, Paul dit : « Je suis débiteur et envers les Grecs et envers les barbares, et envers les sages et envers les inintelligents ; ainsi, pour autant qu’il dépend de moi, je suis tout prêt à vous annoncer l’évangile, à vous aussi qui êtes à Rome ». La pensée traditionnelle parmi l'élite juive au temps de Paul était que, comme élus de Dieu, tout ministère