Sans homicide fixe exposé
Serge Gardebled mais plus connu sous le pseudonyme de Serge Garde était un reporter de l’Humanité avant d’être écrivain. Il écrivait souvent ses articles sur des faits divers, la justice et la criminalité (le personnage de l’histoire est aussi journaliste/reporter et le thème le plus souvent abordé dans ce livre est la criminalité).
Le 24 février 2000, Serge publie un dossier de trois pages dans le quotidien de l’Humanité, il révèle l’existence d’un cd-rom informatique contenant 8500 documents de pédocriminalité, on y voit des viols d’enfants et même de nourrissons. Logiquement la justice et la police auraient du prendre le relais, avertis par les révélations du journaliste qui montrent sans contexte qu’il existe en Europe de véritables réseaux pédocriminels, or il n’en fut rien. Puis il écrit Le Livre de La Honte, à la suite de cet article sur le même sujet la pédophilie.
Il a aussi écrit ENQUETE sur une société qui consomme des enfants, Le guide du Paris des faits divers avec ses enfants, puis il a écrit Gregory, autopsie d’une enquête, Les beaux jours du crime, Interdit de se tromper 40 ans de médecine légale et L’industrie du sexe. Mais son premier roman fut Sans Homicide Fixe, qui décrocha le grand prix de la Littérature policière en 1998.
Le film qui me fait le plus penser à l’histoire du livre est un film récent : « Dans la peau d’un S.D.F » qui raconte les trois semaines qu’a passées Jean-Charles Deniau, l’hiver dernier, muni d’une caméra, dans la peau d’un S.D.F, il a vécu sans argent et à la recherche constante d’abris et de nourritures (tout comme notre personnage), le documentaire le suit pas à pas dans cette aventure hors du commun.
Resume
Un journaliste de La Francilienne se fait passer pour un S.D.F pour écrire un article sur la condition de ceux-ci à Paris, pendant ce temps une série de meurtre a lieu, 6 victimes sont déjà a dénombrer, avec toujours le même mode opératoire, tué d’une balle