Sarko éco
Dans cette article, Nicolas Sarkozy, à la tête du G20, défend sa volonté à Davos, lors du forum économique mondial, de mettre en place une meilleure régulation du système monétaire international.
Tout d'abord, il déclare qu'on ne renoncera jamais à l'euro : en effet l'économie française et européenne est affaiblie par les déficits budgétaires importants de certains pays notamment la Grèce, L'Irande, le Portugal... Ces derniers empruntaient de grosses sommes d'argent sur les marchés financiers ce qui gonflait de manière considérable leur dette public, du coup la note de bonne santé financière et économique de ces pays a été dégradé par les organismes de notation. En réaction, les marchés étaient moins volontaires à leur prêter de l'argent et ont donc augmenté grandement le taux d'interêt de ces emprunts. Les autres pays européens ont donc du venir en aide à ces pays. En parallèle de cela la monnaie européenne a été attaquée par des spéculateurs.
C'est la raison pour laquelle Sarkozy parle dans un second temps de la mise en place d'un fond pour défendre l'euro : si des spéculateurs attaquent de nouveau l'euro, l'Europe s'est dotée d'une somme d'argent pour les contrer. Cet article souligne aussi l'existence d'une volonté de mettre en place des règlementations et des exigences de fonds propres pour les banques : cad lorsqu'elles prêtent de l'argent, elles doivent garder un certain pourcentage en réserve. Elles ne peuvent pas tout prêter. Sarkozy essaye aussi de faire en sorte que les traders soient surveillés et encadrés, ceci pour limiter une nouvelle crise financière. Cependant nous pouvons voir que ces tentatives de réglementations mécontentent les banques américaines qui ne sont pas favorable a ces initiatives. Je cite : «trop c'est trop» par James Dimon, le patron de l'une des banques américaine les plus solides. Nicolas Sarkozy dans un troisième temps propose de