Schachnovelle docteu b
Le narrateur rencontre pour la première fois ce personnage sur le bateau, durant la deuxième partie d’échec de Macconnor contre czentovic.
C’est un homme âgé de 45 ans, très pâle. Il fit vite impression car il sauva la partie de MacConnor et réussi à faire match nul contre un champion mondial.
Le narrateur est surpris par ce talent et veut en savoir plus. Il va donc aller parler au Docteur B.
Il apprit que ce dernier était un riche avocat autrichien, qui cachait de grosses sommes d’argents aux nazis. A cause de ça, il fut emprisonné dans une chambre d’un hôtel de luxe à Vienne. Là, il n’avait aucun contact avec l’extérieur. La fenêtre était condamnée et le gardien faisait le muet. Il subit ensuite les premiers interrogatoires de la gestapo. Au fur et à mesure qu’il passe du temps isolé dans sa chambre, ses réponses se font moins prudentes.
Mais un jour, alors qu’il attend son interrogatoire dans une antichambre, il aperçoit, dans une veste, un livre. Saint graal pour lui, il doit s’en emparer pour triompher de la solitude et de la folie qui le guette. Il y parvint et retourne dans sa cellule, rêvant de la prose de Goethe ou d’une épopée d’Homer. Malheur, c’est en fait un recueil des plus grandes parties d’échecs jouées par des maitres, remplis de formules incompréhensibles. Au fil du temps pourtant, il parvint à comprendre ces formules et il se familiarise avec le jeu.
Il décide de créer un échiquier avec de la mie de pain mais n’y parvint pas. Il apprend donc par cœur les parties et réussit à se priver de support physique, jouant mentalement les parties. Les interrogatoires se passent mieux car son esprit a une occupation.
Mais après quelques mois d’attente, les parties deviennent ennuyantes de par leur répétition. Il tente donc autre chose : jouer des parties contre lui-même. Il y parvint, mais son esprit se dédouble et c’est alors une guerre intérieure entre son « moi » blanc et son « moi » noir qui le conduis à une perte