Les Schneider sont une famille de bourgeois puissante qui ont une société à gérer à Creusot. Adolphe se marie avec Valérie Aignan et le frère d'Adolphe Eugène se marie avec Constance Lemoine. La société Schneider & Cie est à l'origine d'un capital bancaire de 2.6 million de franc. Une fois la société apparue, il y avait deux affaires (l'une est une cristallerie de la reine et l'autre est une fonderie royale créer en 1782. Ils ont une réussite technique mais l'entreprise connaît des difficultés au niveau financier dès 1780. Une faillite est annoncer en 1818 puis deux Anglais Manby et Wilson ont hérité des parts financières mais une autre à eu lieu en 1833. Plutôt dans le passer, les Schneider héritent de deux techniques l'une pour le modèle Anglais pour leur qualité de fabrication et l'autre de suivre des cours au conservatoire des arts et métiers et aussi grâce aux voyages en Angleterre. Dès 1838 une locomotive à vapeur est fabriquer en France et elle se nomme "la gironde". En 1845 Adolphe meurt accidentellement et son frère Eugène succède à la direction de l'entreprise; il l'assume ce rôle jusqu'en 1875 avec une réussite économique dans plusieurs domaines, tels que ferroviaire, navigation et charpente métallique. La plus grande partie de sa carrière est effectuer à Paris et il associe son fils Henri à la gestion des affaires. Eugène devient cogérant en majorité conforme au statut de la société. Jusqu'en 1910, son père et son grand-père effectue une carrière politique. Les activités de l'entreprise s’orientent vers l'armement avant 1914. Il délocalise ses entreprises partout dans le monde. Pendant cette période, la famille connaît des décès de deux fils Henri-Paul en 1918 et Jean en 1944. Il reconstruit le site en reconversion vers le nucléaire mais l'époque Creusot s'achève. Quatre générations se sont donc succédé à la tête de l'empire familiale; c'est le respect des valeurs morales que montre l'image de cette famille. A la fin du siècle, Giovanni Boldini