Science politique
Cet article traite de l’affaiblissement du gouvernement Charest selon nos péquistes. Récemment, Jean Charest, premier ministre du Québec et chef du parti libéral, a été impliqué dans la Commission Bastarache. Cette commission d’enquête concernait la nomination des juges. Le Parti Québécois et son chef, Pauline Marois, croit que le gouvernement libéral dégringole et se préparent à l’après-Charest. Les troupes péquistes sont persuadé qu’il ne sera pas le chef du Parti Libéral du Québec aux prochaines élections générales.
Le Parti Québécois appui ses propos à l’aide des quelques preuves concrètes. Tout d’abord, l’opposition soulève que Jean Charest avait déjà été interrogé auprès de trois commissions différentes que celle intenté récemment, la commission Bastarache : la commission Oliphant, qui clarifiait la relation entre Brian Mulroney , ancien premier ministre du Canada,et le financier Karlheinz Schreiper, la commission Moisan, les contributions illégales verser aux partis politique et la commission Grenier, sur le dépense d’Option Canada lors du référendum de 1995. De plus, la reputation du Québec comme étant la province la plus corrompue du Canada dans le magazine Maclean’s ne glorifie pas encore le gouvernement Charest. Sans oublier, la controverse entourant l’exploitation du gaz de schiste dans les vallées du St-Laurent. Ces faits remettent en question l’intégrité de Jean Charest. Le Parti Québécois profitera de ces faiblesses pour faire valoir leur parti pour peut-être gagner les prochaines élections.
2. CASTONGUAY. Alec. «Un premier ministre qui fait l’histoire», Le Devoir, Samedi/Dimanche le 25 et 26 septembre 2010, B-2
Cet article traite de la crédibilité du premier ministre du Québec, Jean Charest, à la commission Bastarache. Le chef du parti libéral a marqué l’histoire jeudi le 23 septembre 2010. Sauf Honoré Mercier en 1891, aucun premier