Sociologie education
Chapitre 1
Evolution du système scolaire et de la scolarisation, inégalité sociale face à école
Institution scolaire = lieu de transmission, trie des élèves avec ceux qui réussissent à école (accès à des écoles prestigieuses) et ceux qui ne réussissent pas (filaire peu favorisée)
Question centrale pour les sociologues car le trie n’est pas neutre. Les enfants des milieux populaires éprouvent plus de difficultés dans le milieu scolaire.
Si un plus grd nombre d’enfant populaires échouent à école c’est par ce que leur culture initiale est différente de la culture scolaire.
1. L’échec scolaire comme problème social
Fin du 19ème: on repérait déjà des élèves « réfractaires » à la norme scolaire, on es traités comme si leur incapacités à satisfaire les attentes scolaires venaient de leur caractère propre = « peu doué », « débile », « asociaux » …
Les psychologue faisaient passer des tests = psychométrie (Alfrède Binet). On estimait qu’il y avait une lecture médicale du système scolaire et de leur échec.
Après 1945, une nouvelle problématique est associée à l’échec scolaire. Elle fait référence au caractéristique attendu par m’école (n’est plus propre à l’élève)
L’échec scolaire apparait en France dans les années 50-60, la question préoccupe différents courants politiques: - tenants du monde du travail, préoccupation de former des cadres qualifiés - tenants d’une sensibilité politique de gauche qui revendique une meilleure justice sociale à école.
L’échec scolaire apparait à un moment où la population scolaire augmente. Il va servir à désigner es redoublements massifs et les orientations dans es classes spécialisées. En 1962, 42% des garçons redoublent le CP et en 1967, seulement 27% arrivent en CM2 sans retard scolaire.
On constate une augmentation du nombre de classe de perfectionnement (CLIS, SEGPA): - en 1939, 240 classes sur le territoire; - en 1958, 2 000; - en 1963, 4 000; - en 1970,