Sociologie
Sommes-nous tous égaux devant la mort ?

Qu’est ce que la mort ? « La mort : Échéance de fin de moi».
La sociologie a pour principale but de comprendre les comportements des individus, les inégalités, et tout cela en fonction de certains critères (culture, âge, sexe, niveau de vie etc.)
La vie a un début (la naissance) et une fin (la mort), mais ce qui intéresse les sociologues est de savoir les circonstances de cette mort. Tout le monde n’a, bien évidemment, pas le même niveau de vie et tout le monde ne meurt pas de la même façon. Il se trouve que ces deux notions, étroitement liées, peuvent aider à comprendre la mort, du moins d’un point de vue sociologique. En effet la manière dont on vit peut donner une idée de la manière dont on va mourir. Cependant il existe des morts « inexpliquées» : et dans ce cas il s’agit tout simplement de la fin. Ce qui nous amène à la question suivante : Sommes-nous tous égaux face à la mort ?
Dans un premier temps nous verrons en quoi la mort est un fait social qui peut toucher toutes les classes, puis en second lieu nous expliquerons l’impact des conditions et du niveau de vie sur la mort.

I. La mort touche toutes les classes

En effet la mort est un fait social puisqu’elle marque la fin de l’existence d’un individu, qu’il soit riche, pauvre, jeune, vieux...
Plusieurs études montrent, cependant, que plus le niveau de vie d’un ménage est élevé plus les membres de celui-ci sont en bonne santé. Ce qui est « logique » puisque plus on a d’argent plus on peut se soigner, et même anticiper une éventuelle maladie (exemple : vaccins). Certains pays, moins développé que la France ou les Etats-Unis, ont une espérance de vie plus élevée ce qui peut paraître paradoxale à première vue. Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce phénomène, notamment la pression de la société qui n’a pas le même impact dans les pays sous développé, ce qui joue sur le taux de mortalité.

II. Le niveau de vie

L’éducation joue