Socrate
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tesocrate s ocratesocrates ocratesocra tesocrate socratesoc ratesocra socra
tesocratesocratesocratesocratesocrat esocra « Apollon Délien et Artémis, enfants illustres. Ésope dit une fois aux habitants de la ville de Corinthe de ne pas juger la vertu à l’aune de la sagesse d’un verdict populaire3. »
Socrate semble ne s’être pas contenté de cette éducation (en se consacrant à la philosophie, il avait dans l'idée de travailler pour la conversion morale de ses concitoyens). D’après Maxime de Tyr, Socrate s’adressa à toutes sortes de maîtres dès son jeune âge. Chose peut-être remarquable en ce temps, parmi ses maîtres, Socrate place plusieurs femmes. D'abord, vers 440 av. J.-C., Diotime, prêtresse de Mantinée, lui enseigna la science de l’amour (cette femme est peut-être une invention de Platon).
Socrate fréquenta Aspasie, compagne de Périclès célèbre tant par sa beauté que par son esprit, de 441 av. J.-C. à 429 av. J.-C., menant ses discussions dans son jardin et sa maison.
Socrate se serait instruit tout au long de sa vie : il dit être le disciple de Prodicos de Céos4, et il fréquenta les sophistes (Protagoras, Hippias d'Élis). Il aurait appris la poésie avec Événos de Paros, l’agriculture auprès d’Ischomaque et la géométrie avec Théodore de Cyrène, qui fut l'un des maîtres de Platon également. Il aurait été le disciple à Samos du physicien Archélaos de Milet. Il disait ne rien comprendre à Héraclite. Ces renseignements doivent cependant être considérés avec prudence, car les témoignages, sur ces points comme sur d’autres, ne