Sommaire etude
En fin de contrat, l’intérimaire perçoit : • une indemnité de précarité, • une indemnité de congés payés.
Précarité :
La prime de précarité est une mesure inscrite dans le code du travail français. Cette prime est versée au salarié en fin de contrat à durée déterminée (CDD) par son employeur.
Le montant de la prime de précarité équivaut au minimum à 10 % de la rémunération totale brute due. Elle n'est pas versée en cas de rupture anticipée du contrat par le salarié, de rupture du contrat due à une faute grave du salarié ou refus du salarié, de conclusion d'un CDI, ou suite à un CDD. Cette prime n'est pas versée dans le cas d'un contrat saisonnier. Elle ne l'est pas non plus quand l'employeur est l'Etat.
Congés payés :
Ils sont dus quelle que soit la durée de la mission. Au moins égale à 10 % de la rémunération brute totale perçue pendant la mission, l’indemnité est versée à l’issue de la mission.
Les périodes de suspension du contrat de travail pour maternité ou adoption, pour cause d’accident du travail ou de maladie professionnelle (dans la limite d’un an), sont assimilées à une mission pour l’appréciation du droit à congés payés.
ACCUEIL DE L’INTÉRIMAIRE
Lors de l’inscription d’un intérimaire on lui demande de se munir d’une piève d’identité, d’un cetificats de travail (ou bulletin de salaire) d’un CV des diplômes obtenus d’une attestation de stage d’un justificatif de domicile d’un rélévé d’identité bancaire
Dans certains cas, ils ont à présenter des justificatis supplémentaires : un justificatif de visite médical du travail (moin de 6 mois) les permis de conduire : FIMO, FCOS, CACES, ADR, VM s’il est chauffeur, cariste ou conducteur d’engins de chantier un extrait du casier judiciaire, s’il est comptable une reconnaissance travailleur handicapé
Pour les mineurs, les agences ne prennent pas le risque de les embaucher car il y aurait trop de risques et trop de contraintes.
Il ne peuvent pas