LECTURE ANALYTIQUE N°6 : Sonnets pour Hélène

Moyens stylistiques :

-Sonnet (2 quatrains, 2 tercets) : signifie que l’auteur a fait attention.

-Il n’ya que des alexandrins (vers à 12 syllabes) : vers noble

- Rimes embrassée, suivies, croisées.

-Rimes suffisantes : 2 sons identiques.

-Thème amour. Amour opposé au dédain. Ronsard veut faire passer ici Hélène pour une femme ‘précieuse’, difficile, qui se fait désirer, fait souffrir…

-Enumération au v.5 : admiration. Comparaison, périphrase v.3. Contraste entre passion et dédain, dévalorisation de lui par rapport à elle. Strophe 2 : la frustration, la crainte.

-Assonance au v.2, reprise anaphorique compter .Il a met sur un piédestal. Ponctuation : rythme le texte (comme s’il était essoufflé aux derniers vers). Champ lexical divin, registre lyrique, références mythologiques.

-Traduction poétique hérité de Pétrarque (poète italien) : Canzonniere. Sonnet : forme fixe. Opposition a la 1ère strophe le jeu des pronoms, opposition humain/divin, passion/indifférence, le haut/bas (opposition spatiale et aussi symbolique).

PB : Etudier comment le jeu des oppositions permet au poète de mettre en valeur l’image divinisée de sa destinataire :

1-Un texte construit sur des oppositions :

A-L’opposition des pronoms :

Les 2 quatrains commencent par ‘Je’, et les 2 tercets commencent par ‘tu’ : 2 pronoms personnels. Cette opposition des pronoms va renvoyer à 2 protagonistes qui sont le sujet de ce poème. Le poème fixe une relation d’un locuteur vers un destinataire. Tout au long de ce poème il ya un entrelacement entre ces deus personnes découvre au début v.4 et 3 mais aussi à l’intérieur du poème : sueur au front/froideur, Tu es comme une déesse/je ne suis pas un dieu (présence déterminant possessif avec pronom : entrelacement incessant).

B- Opposition affective :

On la découvre dés le 1er vers avec la tournure négative ‘Je ne…’ qui montre qu’il y a une différence entre celui