Spoilons
On pourrait croire que ce n’est pas si compliqué que ça, sauf qu’en fait, à partir du moment où vous avez soit des pouvoirs tellement puissants qu’ils peuvent régler tous les problèmes, soit la capacité de les régler avant même qu’ils n’arrivent, le film n’a que peu de chance de durer. Sauf si A) il est incroyablement bien maîtrisé et écrit ou B) c’est une merde assumée, faire un truc cohérent, c’est fatiguant et tout le monde s’en fout.
Et puisque nous parlons généralement d’Hollywood, je vous laisse donc deviner de la solution qui l’emporte.
Aussi, lorsque j’ai ouï dire que le prochain X-Men parlerait de gens avec des übers-pouvoirs voyageant dans le temps, vous imaginez bien que j’ai eu des étoiles dans les yeux, principalement lorsque j’ai tenté de me poncer les rétines. Aussi, je vous propose de ne pas en dire plus : alors, X-Men : Days of future past, brillante réussite ou blockbuster au script tenant à peu près autant debout que le professeur Xavier ?
Ni une, ni deux : spoilons, mes bons !Il existe bien des manières de rater un film.
La première est bien évidemment d’y faire tourner Nicolas Cage une veille de date limite pour rendre sa feuille d’impôt. Mais il en existe bien d’autres, qui ont déjà été expliquées sur ce blog. Or, l’art de la pédagogie étant celui de la répétition, revenons sur une règle simple, dite règle de l’Odieux Connard, à savoir que pour rater un film, il existe trois éléments incroyablement compliqués à gérer qui à moins d’y prêter une attention particulière, sont une garantie certaine de ratage. Il s’agit :
de Dieu de la grosse magie/des übers pouvoirs des voyages dans le temps
On pourrait croire que ce n’est pas si compliqué que ça, sauf qu’en fait, à partir du moment où vous avez soit des pouvoirs tellement puissants qu’ils peuvent régler tous les problèmes, soit la capacité de les régler avant même qu’ils n’arrivent, le film n’a que peu de