Sport luxe
| |
| |
| |
|Les industries les plus disparates, le Sport et le Luxe, ont décidé de collaborer dans le but de séduire une nouvelle clientèle à la recherche de|
|performance et de style. D’ailleurs, d’après un spécialiste du marché : « la mode représente le futur du sport et vice versa ». |
|Depuis quelques années, des partenariats naissent à l’instar d’Adidas et Stella McCartney. Toutefois, il existe deux types de rapprochements bien|
|distincts avec d’un côté des marques de luxe lançant des collections sport ; et de l’autre des marques de sport commercialisant des articles |
|griffés par d’illustres créateurs. En se focalisant strictement sur le second modèle, quand le sport et le luxe décident de s’allier, quel type |
|de distribution est le plus approprié sur le marché français : exclusive ou de masse ? |
|Le dilemme sera donc le suivant: choisir une distribution de masse qui peut endommager l’image de la collection; ou opter pour une distribution |
|sélective qui peut avoir un impact négatif sur le chiffre d’affaires avec une clientèle potentielle limitée. |
|Par élimination, sont à exclure les Grandes Surfaces spécialisées (GSS) pour cause de mauvaise image et les magasins indépendants non |
|spécialistes pour raison de superficie. En effet, selon Lionel Sahim Responsable de la boutique Adidas de Toulouse, «il n’est pas intéressant de |
|proposer seulement deux ou trois t-shirts Stella McCartney, sachant qu’à Paris, pour cette même collection, une surface de la taille de notre |
|boutique y est consacrée ». |
|Quant aux enseignes telles que Citadium, qui ont décidé d’opter