UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL

THE STRUCTURE AND CONTENT OF TRUTH

Par : Maxime Poulin

Le 1er mai 2006

INTRODUCTION
Dans le texte qui m’a été proposé dans le cadre de ce travail, on remet en question certaines conceptions contemporaines du concept de vérité. On apporte le concept dans un nouveau concept. On tente de le sortir du domaine restrictif de la philosophie. Tout comme la nouvelle analyse du concept que nous proposera Davidson, on tente de la démontrer comme étant accessible à tous. En esquissant John Dewey lorsqu’il exprime que « l’accès à la vérité ne peut être une prérogative de la philosophie » et que « la vérité doit avoir un lien avec les intérêts de l’homme » Davidson veut poursuivre cet intérêt de faire du concept, si grandement utilisé par tous les pratiquants du langage, de vérité une analyse qui s’inspire de cette popularité du concept pour en pointer même son utilité et sa grande importance dans la construction de la rationalité. Selon lui, la thèse de la vérité-correspondance, est une thèse qui n’était défendable que par le philosophe et de ce fait, supérieure à la science. Le but de Dewey était donc, de rendre l’accès au vrai à une réalité plus accessible pour tout le monde. Bien que la plupart, des penseurs s’avançant sur le terrain d’une théorie de la vérité sentent souvent l’envie de rejeter une thèse correspondantiste, Dewey semble vouloir la conserver et d’en rendre l’explication plus compréhensible. Le problème dans la clarté du concept ne se situe pas dans l’aspect de correspondance entre l’idée et le fait, mais dans la définition de correspondance même. Qu’est-ce qui peut être qualifié comme « correspondant »? Il avance une idée selon laquelle le vrai serait en quelque sorte, conventionnel. Que le vrai serait dépendant de notre satisfaction face aux liens proposés par la correspondance, que le vrai serait issu de nos croyances.

Le problème perçu dans le vrai est donc vraisemblablement un problème de perception ou