Suite de matin brun
Dites moi que je rêve! C'est pas possible d'avoir été aussi stupide pour croire que cette foutue police brune allait nous laisser tranquille.Je pris quelques affaires et mes papiers, comme me l'ordonnèrent ces messieurs bruns. Ils me poussèrent dans les escaliers, j'allais presque tomber! Les voisins étaient là, la concierge aussi, et personne comprenait réellement ce qu'il se passait. On me fit monter dans un camion brun, qu'on avait de plus en plus l'habitude de voir. Dedans, je fus supris de retrouver la petite couturière de la rue de France. Têtu comme elle était, elle avait prèferé cacher son chat noir au lieu de le tuer. D'un autre côté elle avait bien fait, dans tout les cas elle se serait retrouver dans ce camion aussi …
Pendant le voyage, on s'arretait de temps en temps pour prendre d'autre « passagers » et on avait beau questionner les policiers bruns sur l'endroit où on allait, personne voulait nous répondre. Pendant la route tout le monde restait silencieux, des baches brunes nous cachaient le paysage. Aucun moyen de voir où ils nous conduisaient. La petite couturière pleurait son chat, et je commencais à regretter le mien! C'est vrai qu'il etait sympa ce chat... Et tout d'un coup je repenssait à Charlie, j'allait peut etre le retrouver! Sa me donna un peu de courage et de bonne humeur, tout ce qu'il me fallut pour tenir encore 20 minutes de route.
Le camion brun s'arreta. Un grand soulagement se fit sentir parmis nous. Quand je dis nous c'est les passagers, on avait créer des liens pendant