La bas…, la bas il y a une forêt dont le nom m’échappe mais sa splendeur, elle, reste graver dans ma mémoire. Aucun arbre n’avait l’air de se dessécher, ils avaient tous les feuilles d’un vert émeraude, des tronc de diamètre énorme, et une hauteur à en avoir le vertige. Dans cette forêt on 5pouvait apercevoir un petit village qui lui, n’était pas dévorer par cette verdure. Des maisons, non, il s’agissait de cases, où vivaient des hommes, des femmes, et des enfants. On pouvait voir les enfants jouer, les femmes discuter autour d’une tasse de thé, tandis que les hommes c’étaient fabriquer des boules de pétanque avec de l’argile. Tous étaient peu vêtu, avez vous 10peut-être déjà vu Un Indien Dans La Ville, il s’agit de ce même type de vêtement fait en peaux d’animaux, cela prouve qu‘il n‘on aucun complexe avec leur corps ou avec celui du sexe opposé, il n‘y a aucun malaise. Dans ce village, ils vivaient comme nous à l’extérieur, mais avec des moyens différents et surtout plus respectueux de la nature. On avait beau chercher on ne voyait 15aucune voiture, aucun four, on peut en conclure qu’ils ne possédaient aucune machine qui puisse avoir une influence négative sur la nature. A coté de se village, une cascade, l’eau était d’un bleu profond, on pouvait y voir les poisson nager, les enfants jouer entre eux a s’éclabousser, les femmes quant à elle se lavaient et lavaient les plus petits. La nuit tomber, un feu immense au milieu du village apparaissait et les villageois entamer un rituel autour de 20celui-ci, une danse sensuel au quelle femmes et enfants participaient pendant que les hommes jouaient d’un instrument. Une fois le feu éteint on pouvait apercevoir dans un ciel qui était d’un bleu presque noir des milliers d’étoiles scintillées, au levé du jour le