Management des entreprises

Question 1 : l’essentiel est la c’est bien 4 points

Monsieur Yann Maus , dirigeant de l'entreprise Fonroche-Pavefersa, dans le cadre du développement de son entreprise à consulter deux auteurs Aoki, pour la comparaison entre la firme A et la firme J et Mintzerberg au sujet des différents modes de coordination.

Monsieur Masahiko Aoki, auteur japonais, s'est interrogé sur l'efficacité des structures. Il compare deux types de firme : la firme A, américaine, et la firme J, japonaise. Chacune possède sa propre structure d'échange de l'information. - la firme A possède une structure rigide. Ses règles et ses fonctions sont préétablies de façon précise. La coordination est verticale, ce qui signifie que les informations passent surtout par la voie hiérarchique. - la firme J possède au contraire une organisation de travail souple et sans fonction figée. La coordination horizontale est forte et les décisions sont décentralisées. Ainsi chacune de ses firmes possèdent ses domaines et conditions d'efficacité. La firme A semble plus performante dans un environnement stable alors que la firme J paraît plus efficiente en univers plus incertain.

Henri Mintzberg a donné une autre étude des structures d'entreprises en l'analysant à partir de 5 composantes de base, 6 modes de coordination et plusieurs configuration types. Les 5 composantes de base de l'entreprise sont le sommet hiérarchique, la ligne hiérarchique, le centre opérationnel, la technostructure et les fonctions de support logistique. Ses composants doivent se coordonner. L'auteur décrit donc 6 modes. l'ajustement mutuel : la coordination se réalise au travers d'une communication informelle entre les salariés.
La supervision directe : une personne donne des instructions à plusieurs autres qui travaillent en interrelations.
La standardisation des procédés de travail : chaque poste de travail est défini en précisant les tâches que l'opérateur doit effectuer (par