Sujet d'invention
J'était assis à l'ombre d'un tilleul vert.
Elle, était allongé dans l'herbe. Elle tenait un livre d'une main. De l'autre, elle caressait la verdure.
Le soleil effleurait sa peau pâle. Elle avait un air candide.
Je ne pouvais m'empêcher de la regarder.
Sa robe blanche, me rappelait les anges que j'avais pu voir dans les tableaux de grands peintres Français.
Ses cheveux châtains et ondulés, descendaient le long de son dos.
Je me suis levé pour lui adresser quelques mots.
Elle s'est tournée vers moi et je vis ses yeux. Des yeux d'un bleu majestueux. Un bleu océan.
Lorsque je la regardai, j'avais l'impression de me perdre dans son regard rieur.
Elle me sourit, et je vis se dessiner au coins de ses joues, de petites fossettes.
Je me présentai auprès de cette magnifique jeune femme. Elle se présenta. Rose.
Ce prénom résonne encore dans mon esprit comme si elle n'avait jamais cessé de le prononcer.
Son prénom lui avait été donné en rapport avec la déesse Aphrodite. Déesse de la beauté, à laquelle on dédiait la rose.
Je trouvais cette histoire vraiment jolie.
Nous restâmes tout l’après midi à parler de littérature et de poésie.
Je trouvais que c'était une femme avec un esprit très ouvert.
J'aimais sa façon de penser. J'aimais tout de son être pour tout vous dire.
Nous nous revîmes chaque après midi en ce même lieu.
Et à chaque fois, elle m'apprenait un peu plus sur la poésie romantique.
Je tombais amoureux de Rose. Elle m'avait charmé, avec ses yeux et ses paroles de sagesses.
Son sourire m'avait subjugué. C’était un coup de feu, un vrai.
Mais je savais que cette histoire ne pourrait durer éternellement puisque vous deviez venir m'acheter dans les trois jours qui arrivés.
Mais, maître, ne vous en voulez pas, ce n'est point de votre faute.
Je n'aurais point du parler a Rose. Elle m'intriguait tant.
Lorsque j'allais la rejoindre, j'avais des papillons dans le ventre, mon cœur accélérait ses