MEYER Mardi 25 février 2014
Célia
1ST2S2

DEVOIR MAISON N°2

La surveillance et la prévention des maladies vectorielles à Mayotte

1.

2. La surveillance épidémiologique à Mayotte a permit de réduire de manière importante le nombre de cas de Paludisme sur cette île, passant de 792 malades déclarés en 2003 à 97 malades déclarés en 2011, grâce à une réduction de la transmission autochtone de la maladie sur l'île. Le nombre de cas autochtone a baissé de 600 cas en 2003 à 40 cas en 2011. Cette surveillance est mise en place par l'Agence de Santé de l'Océan Indien. Chaque déclaration des médecins et biologistes de l'île fait l'objet d'une investigation épidemiologique par le service de lutte anti-vectorielle (LAV) et de traitements ciblés contre les moustique anophèle, pour éviter l'apparition de nouveaux cas dans l'entourage. La Cire Ocean Indien assure l'analyse des données et la rétro-information.

3. Le nombre de malades déclarés, atteints du Paludisme, était de 792 en 2003, dont un nombre de cas autochtones de 600, à la même date. Grâce au renforcement de la surveillance et de la lutte antipaludique, on a pu observer une réduction importante de ces nombres, passant de 97 malades déclarés en 2011, et de seulement 40 cas autochtones. Les principaux touchés par la maladie étaient les adolescents et les jeunes adultes, ce qui peut être expliqué par une exposition plus grande aux piqûres des moustiques actifs à partir de la tombée de la nuit. Mêmes si les nombres de cas ont considérablement baissés l'année passée, des foyers temporaires de cas autochtones apparaissaient néanmoins aléatoirement sur l'île, ce qui rappelait que le paludisme restait une maladie endémique pour laquelle des actions de lutte et de prévention étaient encore nécessaires.

4. L'Agence de Santé de l'Océan Indien à mit en place un grand