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HEBERT FRANCAIS
Nous sommes durant l'année 1942 quand Albert CAMUS, auteur qui a pour genre le roman, le théatre, et la nouvelle, publit l'Etranger. Meursault, le personnage principal, après plusieurs péripécies va être amené à comettre le meurtre d'un arabe et est condamné à mort. Peu de temps avant sa mort, un prêtre vient le voir pour lui apporter du réconfort et le confesser. Mais les paroles du prêtre ont tendances à agacer Meursault. Il finira ensuite par s'apaiser. Ce texte, qui est la scène finale du roman, nous montre un monologue badant de la part de Meursault. Comment Meursault, dans ce monologue, parviendra t-il a s'accepter après son terrible geste ?
I/ De l'agressivité à la prise de conscience
Pour commencer, on assiste à une agréssivité, une révolté de la part de Meursault "je me suis mis à crier", " je l'avais pris par le collet de sa soutane". C'est Meursault lui meme, qui parle, grâce à un discours indirect libre (l16 a 18). Dans un second temps, Meursault se calme, il est en paix avec lui même. On peut remarquer ce changement grâce au champs lexicaux, " je l'ai insulté " exemple durant sa colère , puis " lui parti, j'ai retrouvé le calme " d'ou son apaisement après le départ du prêtre.
En effet, à partir des lignes 10/11 , on constate une remise en question totale du condamné à l'aide du monologue qui, est marqué entre autre par des phrases basées sur la réflexion " Et moi aussi, je me suis senti preêt à tout revivre" . Auparavant, Meursault ne se remettait jamais en question, il ne pensait pas à l'avenir. A la fin du texte, on y voit tout le contraire, avec cette vision de la vie complètement différente et réele " sur de ma vie et de cette mort qui allait venir ". A