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« Ces objets qui nous envahissent »… Le smartphone, de l’objet culte à l’objet transitionnel
La majorité des objets qui nous entourent ont une destination précise. Utiles, ils étendent le pouvoir de l'Homme et facilitent la vie quotidienne. Ces objets sont des innovations technologiques et sont un progrès constant de l'humanité. L'objet par sa valeur tels que le design, l'ergonomie, la marque, ses fonctions..., ne fait-il pas de lui un objet utile au quotidien dont l'homme ne pourra plus se passer ? L'exemple du téléphone portable, objet culte qui nous envahit, est montré comme un « être » vivant par ses fonctions si utile dont l'homme utilise quotidiennement et dont tous le monde en devient accro.
Le smartphone perçu comme un doudou ? Cela ne serai pas vraiment faux.
Comme l'explique François Gantheret dans le document 1 en 1995, les enfants sont imaginatifs de tellement de choses dû à leur besoin interne de créer des objets « subjectifs » pour les satisfaire. Dès lors où un enfant a un objet dans la tête qu'il s'imagine, ils va exercer sur celui ci une « toute-puissance ». Un bout de couverture ou encore un bout de tissus, suffit chez un enfant pour créer un attachement.
Pour lier ceci au smartphone, la personne le possédant va créer un lien à cette objet tel un enfant.
On le fait passer pour une omnipotence et devient une chose permettant de combler un bambin.
Dans le document 2 de Martine Laronche, « Le portable, doudou envahissant des grands », Le Monde, 5 septembre 2010, elle explique que dès lors où un lien est créer avec un objet, l'enfant peut s'en satisfaire tel un lien mère / enfant. Le mobile serait en quelque sorte un objet « transitionnel » qui permet au petit enfant de supporter l’absence de sa mère.
Le smartphone touche déjà l'enfant, qu'en est-il de l'adulte, que provoque cet objet pour eux ?
Dans le document 2 de Martine Laronche, elle montre ici la vision de l'homme avec l'Iphone, le smartphone d'Apple.