Culture générale et expression écrite le 14 Mars 2012 :

Suite écriture personnelle

A l’exemple de la photographie du document n 4, illustrant l’émission de téléréalité de M6, le pensionnat de Chavagne, l’école des années 50 est effectivement différente de celle du début du XX eme siècle, pour limiter au cas français. Cette école, que le photographe Robert Doisneau a immortalisé avec ses clichés en noir et blanc, n’est pas mixte, comme le rappelle des inscriptions sur les façades d’école primaire ( école de filles/ écoles de garçons ). Si le ministère est adoptée dans la loi en 1952, elle mettra deux décennies à se généraliser dans l’enseignement public est privé. Les méthodes éducatives mettent en valeur les sanctions (bonnet d’âne, mais aussi punitions diverses, comme celles évoquées dans le document n 2 (huile de foie de morue) et aussi châtiment corporel, interdit depuis.
La tenue vestimentaire n’était pas au choix des élèves, c’était la blouse en primaire et l’uniforme au collège. L’obligation scolaire à été portée à 16 ans en 1959, c’est à dire que dans les années 50 , de nombreux élèves sortaient du système dés l’âge de 14 ans et il y a avait moins de 10% de bacheliers pour une classe d’âge, contre plus de 70% aujourd’hui. Le premier document parle d’un âge d’or mythique en se qui concerne cette école des années 50. En effet , si dans les souvenirs de certains, lesquels sont en une scolarité heureuse parce qu’ils étaient conformes aux exigences du corps enseignant, cette période évoque une moment idéal, pour beaucoup d’autres, exclus du systèmes, trimés par des méthodes éducatives contraignantes, les années 50 ne sont pas un bon souvenir. L’école de cette époque est basé sur la sélection, qui ne dit pas son nom et a méritocratie, seuls les élèves qui suivaient bien le système sont privilégiée.
Ceux qui suggèrent (se sont les adultes qui pont terminé leur scolarité !) de revenir à cette école, sont ils conscients du décalage avec celle du début de ce